
AU PLUS PROCHE
DE LA NATURE
Vous cherchez un endroit où confier votre animal en toute confiance ?
Ou peut-être, souhaitez-vous adopter un nouveau compagnon à quatre pattes ?
Notre refuge animalier est là pour vous aider !
Avec des années d'expérience dans la pension, l'éducation et l'adoption d'animaux, nous sommes fiers de fournir des services de qualité pour nos amis à fourrure. Nous sommes convaincus que vous trouverez ce que vous cherchez chez nous.
CHAQUE JOUR UNE NOUVELLE HISTOIRE

Oui, le refuge est toujours ouvert.
Et non, tout ce qui a été écrit récemment ne reflète pas la réalité.
Le journaliste est venu une fois — et n’a rien constaté d’anormal.
Le jugement ? Il fait l’objet d’un recours.
Ce qui dérange parfois… c’est que ça fonctionne autrement.
Complément de l'article au Journal du Nord vaudois
Vous m’avez interrogée, et je vous en remercie.
Votre article, pour une fois, ne m’a pas écrasée.
Mais il laisse encore dans l’ombre bien des choses.
Bricolage ?
Non.
Ici, rien n’est fait à la légère.
Chaque espace est aménagé pour eux, selon leurs besoins réels et sociaux —
pas selon des normes figées ou des attentes humaines.
Nous ne recevons aucun financement public, car nous ne rentrons pas dans les cases prévues pour cela.
Et pourtant, nous offrons un lieu :
-
stable, sûr,fonctionnel
-
respectueux du bien-être de chaque animal
Un lieu où les animaux se posent, s’apaisent, dorment en confiance…
et ont du plaisir à revenir.
Les contrôles ?
Ils ont été nombreux, intenses, parfois contradictoires.
Mais après deux ans :
-
Aucune maltraitance grave constatée
-
Aucun animal retiré
-
Aucune décision judiciaire ferme
Ce que vous n’avez pas dit ?:
-
Le refus d’un audit indépendant, que j’ai moi-même demandé
-
Le poids politique, bien plus lourd ici que la vérité de terrain
Je n’ai plus le luxe du silence.
Je comprends que votre position n’est pas simple.
Mais moi, je vis dans ce refuge.
J’y tiens debout, seule, depuis des années.
Et je refuse qu’on réduise ce lieu à quelques phrases imprécises.
CONCLUSION
Ce n’était pas un article qui juge.
Pas un article qui attaque.
Juste quelques lignes,
entre les lignes.
Un peu d’espace.
Un peu d’écoute.
Et parfois, ça suffit à respirer.
Alors merci, au journaliste,
d’avoir pris ce risque simple :
laisser exister une autre réalité.
Et si la vérité était ailleurs que dans les articles ?
La photo publiée dans 20 Minutes n’a pas été prise dans notre refuge.
Et si ce qui dérangeait… fonctionnait ?
Et si ce qui dérangeait… fonctionnait ?
Ici, les animaux vivent en paix. L’accueil est humain, respectueux, sans artifices. Et ce que certains jugent avec sévérité… n’est peut-être qu’une réalité pensée pour les animaux, et non pour le regard humain.
Alors pourquoi tant d’attaques ? Pourquoi ce récit tranché, alors que le jugement n’est pas définitif et qu’un recours est en cours ?
Lors de sa première visite, le journaliste de 24 heures n’avait rapporté aucune irrégularité constatée sur place, ni de remarques du SCAV à ce moment-là. Les installations avaient été décrites comme naturelles, les animaux comme bien intégrés, et les conditions de vie comme respectueuses.
Il est donc légitime de s’interroger sur ce revirement soudain dans le ton et le contenu des publications récentes — d’autant plus qu’elles sont apparues juste après le jugement, sans nouvelle visite ni constat terrain.
D’autant que le juge n’a jamais visité le site. Peut-on vraiment juger un lieu de vie sans l’avoir vu ? Sans entendre les animaux, les soignants, les réalités du quotidien ?
Et si, au fond, ce qui dérangeait… ce n’était pas un manquement, mais une autre façon de faire ? Une approche plus libre, moins codifiée, moins confinée, et peut-être trop avant-gardiste pour certains cadres administratifs.
Peut-être que ce fonctionnement, moins conventionnel, suscite une certaine réserve de la part du SCAV — alors même qu’il repose sur une volonté du refuge de répondre au plus juste aux besoins réels des animaux, selon leurs espèces et leurs besoins, et non selon des attentes humaines.
Il est aussi possible que, par réflexe de protection institutionnelle, le SCAV ait réagi avec prudence, sans que cela ne remette en cause le fond du travail accompli par le refuge.
Repenser l’approche traditionnelle
Repenser l’approche traditionnelle de la protection animale, ce n’est pas rejeter l’existant. C’est ouvrir de nouvelles voies, basées sur l’observation, l’écoute, l’adaptation. C’est reconnaître que chaque espèce a ses besoins propres, et que les modèles standards ne conviennent pas à tous. En favorisant le mouvement, les interactions naturelles, la liberté choisie plutôt que l’enfermement organisé, on cultive un bien-être plus profond, plus stable, plus juste.
On ne cherche pas le scandale. On défend simplement une autre manière de respecter les vies qu’on nous confie, selon les besoins de leurs espèces — et non selon les attentes humaines.
« Les animaux ne parlent pas notre langue, mais ils nous apprennent l’essentiel : écouter, observer, et respecter.
Ce n’est pas en les adaptant à nos besoins que naît l’harmonie, mais en ajustant notre regard aux leurs. »
Des témoignages passés sous silence
Lors de l’audience, deux témoins indépendants sont venus s’exprimer.
Ils ont partagé leur expérience du lieu, parlé du soin apporté aux animaux, de la régularité, de l’engagement quotidien de l’équipe.
Ces témoignages ont apporté un éclairage humain, réel, vécu.
Ils n’étaient ni défensifs, ni émotionnels : ils étaient justes.
Et pourtant, aucune trace de leur présence dans l’article publié.
Cette omission n’est pas anodine.
Elle dessine un récit à sens unique, où ce qui contredit la version officielle disparaît.
Et ce silence pose question.
Non seulement sur le contenu,
mais aussi sur l’intention.
Une image trompeuse
La photo utilisée dans l’article publié n’a pas été prise dans notre refuge.
Elle ne montre ni nos locaux, ni nos animaux, ni notre équipe.
Elle est présentée comme un élément illustratif — mais placée sans précision, sans contexte, en tête d’un article critique, elle oriente la perception du lecteur.
Ce n’est pas anodin.
Une image suggère. Une image accuse.
Et lorsqu’elle ne correspond pas au lieu concerné, elle induit en erreur.
Ce procédé, qu’il soit volontaire ou non, contribue à brouiller la vérité.
Nous appelons cela pour ce que c’est : une fausse représentation.
Un audit extérieur ignoré
Lors de la procédure, nous avons proposé qu’un audit extérieur, objectif et indépendant, soit réalisé.
Un regard tiers, neutre, professionnel, aurait permis d’évaluer les conditions réelles avec rigueur.
Mais cette demande n’a pas été retenue.
Le juge n’en a même pas fait mention dans sa décision.
Ignorer une telle démarche, alors qu’elle aurait pu éclairer la situation en profondeur,
renforce le sentiment que certains éléments essentiels ont été volontairement laissés de côté
Le Centre Animalier du Nord Vaudois tient à réaffirmer la réalité de son engagement
Chaque jour, une équipe de gardiens et de bénévoles s’occupe de ceux qu’on oublie, de ceux qu’on ne veut plus. Fatigués parfois, éprouvés par des articles qui dénigrent leur travail, ils restent là, constants, présents, portés par leur mission. Ils soignent, portent, rassurent, pleurent parfois, puis recommencent. Certains les jugent de loin. Nous, nous voyons du respect, du courage et de la dignité. Et ceux qui témoignent le mieux du travail accompli, ce sont les animaux : les adoptants sont satisfaits, les pensionnaires reviennent avec plaisir – parfois même sans vouloir repartir – et les résidents sont calmes, équilibrés, sereins, parce qu’ils sont compris et qu’ils sont chez eux. Ce refuge n’est pas un lieu d’exposition. Nous protégeons aussi nos animaux des gestes maladroits, des regards de pitié et des visites dominicales à travers des grillages ou des vitres. Un chien est territorial. Une présence intrusive peut l’inquiéter, le stresser. C’est pourquoi nous veillons à leur espace, leur calme, leur sécurité. Ce n’est pas la colère qui nous guide, mais la constance. Quand d’autres écrivent pour provoquer, nous restons là pour soigner. Et si certains ont besoin d’un scandale pour exister, nous continuons à exister sans faire de bruit, mais en faisant du bien. Le refuge reste ouvert. L’équipe reste debout. Ce que nous faisons, nous le faisons avec le cœur. Ici, on soigne sans vitrine, on respecte sans bruit. Et on reste debout.
L'éducation canine est la clé pour vivre une vie harmonieuse avec votre chien, laissez-nous vous aider à créer une relation exceptionnelle avec votre fidèle compagnon.
